Cette année beaucoup de nos anciennes fêtent leur 50 ans, la Renault
16 fait partie de ces icônes qui illustre le savoir-faire de Renault en
matière de voiture à vivre en famille.
Son histoire débute avec
la volonté de Renault de remplacer la Frégate. Nous sommes en 1958 et le
Président de Renault , Pierre Dreyfus, lance le projet 114 d'une
voiture dotée d'un 6 cylindres. Ce projet est arrêté au début de l'année
1961. Pierre Dreyfus déclare: « Pour la grande Renault, nous devons nous y prendre autrement. Et ce, dans plusieurs domaines ».
Voulue comme une voiture à
vivre, dans la même philosophie que la Renault 4, la Renault 16 dispose
d'un hayon et d'une banquette arrière rabattable. En 1970, la Renault 16 est élue voiture de l’année devant la Rolls Royce Silver Shadow .
En 1969, Renault lance la version TA, la Renault 16 est alors équipée d'une boîte automatique, et est présentée au salon de Genève de la même année. Première de son genre conçue en France, elle comporte un dispositif de commande électronique qui en rend l'usage plus doux, plus instantané, plus efficace tout en maintenant une consommation plus que raisonnable. Un calculateur choisit le meilleur des trois rapports après avoir comparé la vitesse du véhicule, le régime moteur et la pression sur la pédale d'accélérateur.
La Renault 16, que certains journalistes avaient qualifiée de « typiquement française dans le meilleur sens du mot », va connaitre un succès certain à l'international avec près de 50% de la production qui y sera vendue. Si la Renault 16 se vend essentiellement en Europe, elle connait également une vie commerciale en Afrique du Sud, en Australie mais également en Amérique du Nord de 1968 à 1972 sous le nom astucieux de Sedan-Wagon (sedan pour berline et wagon pour station-wagon, le break aux USA.
Viennent en suivant les version TS, TS Automatic ou la TX à boite de vitesse manuelle à 5 vitesses qui s'adapte à une Europe autoroutière (avec une vitesse de pointe de 175 km/h) et à une crise pétrolière qui surgit. Cette version se distingue également par un équipement premium.
1980 sonne la fin de la production des Renault 16 avec 1.8 million d’unités produites. Elle sera remplacée par le duo Renault 20 et 30.
En 1969, Renault lance la version TA, la Renault 16 est alors équipée d'une boîte automatique, et est présentée au salon de Genève de la même année. Première de son genre conçue en France, elle comporte un dispositif de commande électronique qui en rend l'usage plus doux, plus instantané, plus efficace tout en maintenant une consommation plus que raisonnable. Un calculateur choisit le meilleur des trois rapports après avoir comparé la vitesse du véhicule, le régime moteur et la pression sur la pédale d'accélérateur.
La Renault 16, que certains journalistes avaient qualifiée de « typiquement française dans le meilleur sens du mot », va connaitre un succès certain à l'international avec près de 50% de la production qui y sera vendue. Si la Renault 16 se vend essentiellement en Europe, elle connait également une vie commerciale en Afrique du Sud, en Australie mais également en Amérique du Nord de 1968 à 1972 sous le nom astucieux de Sedan-Wagon (sedan pour berline et wagon pour station-wagon, le break aux USA.
Viennent en suivant les version TS, TS Automatic ou la TX à boite de vitesse manuelle à 5 vitesses qui s'adapte à une Europe autoroutière (avec une vitesse de pointe de 175 km/h) et à une crise pétrolière qui surgit. Cette version se distingue également par un équipement premium.
1980 sonne la fin de la production des Renault 16 avec 1.8 million d’unités produites. Elle sera remplacée par le duo Renault 20 et 30.